L'Esprit saint comme principe de réforme chez Marguerite Porète / Elisabeth Boncour in Théophilyon, tome22-n°2 (Novembre 2017)

Public [article]  inThéophilyon > tome22-n°2 (Novembre 2017) . - p. 265-280 Titre : L'Esprit saint comme principe de réforme chez Marguerite Porète Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth Boncour, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 265-280 Accompagnement : 2017 Langues : Français (fre) Résumé : L’Esprit-Saint est, sous diverses appellations traditionnelles telles l’Amour ou la Charité, présent dans le Miroir de Marguerite Porète. Celle-ci lui donne d’abord un rôle conducteur : il est celui qui permet à l’âme du fidèle de se dépouiller de tout ce qui revêt la finitude circonscrite du créé afin de cheminer vers l’Absolu. Cette pérégrination de l’âme mue par la grâce de l’Esprit s’achève par son inhabitation en l’âme qui, enflammée par l’amour divin, se consume en lui et s’y unit.(editeur) Permalink : https://nantes.bibliossimo.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=158525 [article]

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Lorsque la louange est blasphème et le blasphème louange / Elisabeth Boncour in Théophilyon, tome21-n°2 (Novembre 2016)

Public [article]  inThéophilyon > tome21-n°2 (Novembre 2016) . - p. 291-308 Titre : Lorsque la louange est blasphème et le blasphème louange : remarques sur la condamnation de quelques propositions eckhartiennes Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth Boncour, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 291-308 Accompagnement : 2016 Langues : Français (fre) Catégories : Droit:Droit ecclésiastique -- France -- 20e siècle:Blasphème Spiritualité:Histoire des doctrines (spiritualité):Spiritualité Médiévale:Eckhart, Johannes (1260?-1327?) Résumé : Remarques sur la condamnation de quelques propositions eckhartiennes. Le blasphème au Moyen Âge est considéré par les théologiens et les juristes canonistes comme une insulte offensant la divinité, la Vierge et les saints. En particulier, Thomas d’Aquin dans la Somme de Théologie montre qu’il est le fruit d’une volonté perverse, négation publique et proférée de la « confession de foi » et de l’amour divin. La bulle In agro dominico, retient des propos eckhartiens comme erronés ou « entachés d’hérésie ». Néanmoins, s’il est vrai que le style excessif du maître peut choquer certaines consciences religieuses, compte n’est pas tenu dans cette condamnation d’une haute tradition théologique : l’apophatisme. C’est dans une telle optique que nous souhaitons resituer la pensée de J. Eckhart, qui, loin d’être blasphématoire, relève au contraire d’une reconnaissance d’un Dieu caché, transcendant qui est, en même temps, louange. (editeur) Permalink : https://nantes.bibliossimo.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=152706 [article]

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